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Qui sont les wokes en France
Un terme venu des États-Unis – Pour comprendre le sens de ce terme, il faut se replonger dans ses cours d’anglais et les fameux verbes irréguliers. Parmi eux, vous vous souvenez peut-être de wake – woke – woken, Le terme woke est donc le participe passé de wake, qui signifie éveiller.
Au sens littéral, « être woke » signifie donc être éveillé. Ce terme est né aux États-Unis dans le sillage des luttes anti-racistes. Le mot est d’abord apparu dans les sphères militantes noires américaines autour du slogan « stay woke », « Cette expression argotique a cheminé dans le monde africain-américain à partir des années 1960 », résumait dans Le Monde le spécialiste de l’histoire sociale et des minorités des États-Unis Pap Ndiaye.
On retrouve même de premières traces de l’utilisation de ce terme jusqu’au début des années 1900. Par extension, le « wokisme » s’est ensuite mis à désigner toutes les personnes conscientes des inégalités et discriminations subies par les minorités au sens larges : ethniques donc, mais aussi sexuelles ou religieuses.
C’est quoi la culture wok ?
D’où vient le terme « woke » ? –
Passé simple du verbe anglais to wake, qui signifie en français « se réveiller », le mot « woke » a pris un sens véritablement idéologique dans la langue vernaculaire afro-américaine pour désigner le fait d’être conscient des injustices subies par les minorités ethniques, sexuelles, religieuses, ou de toutes formes de discrimination, et mobilisé à leur sujet.
- Avant d’arriver en France, le terme s’est répandu outre-Atlantique dans le contexte historique de la lutte pour les droits des Noirs.
- « Cette expression argotique a cheminé dans le monde africain-américain à partir des années 1960 », expliquait au Monde en février l’historien Pap Ndiaye.
- Ce spécialiste de l’histoire sociale des Etats-Unis rappelait que la grande figure du mouvement des droits civiques américains, Martin Luther King, avait exhorté les jeunes Américains à « rester éveillés » et à « être une génération engagée », lors d’un discours à l’université Oberlin, dans l’Ohio, en juin 1965.
Cette conscience militante chez les Afro-Américains serait même déjà apparue au début des années 1900. En 1923, le philosophe et activiste jamaïcain Marcus Garvey, précurseur du panafricanisme, exhortait : « Réveillez-vous l’Ethiopie ! Réveillez-vous Afrique ! » Un article du site américain Vox a repéré l’usage en 1938 de l’expression « stay woke » dans une chanson protestataire du musicien de blues Lead Belly sur l’histoire d’un groupe d’adolescents noirs accusés du viol de deux femmes blanches à Scottsboro (Arkansas).
- Le Figaro revient sur l’origine de cette expression qui n’est pas toujours une injure.
- L’histoire aurait dû se finir là.
- Avec les excuses de Rayan Nezzar, nouveau porte-parole de LREM, qui regrettait avoir publié des tweets injurieux en 2013 à l’encontre d’Alain Juppé, Valérie Pécresse ou Jean-François Copé, respectivement qualifiés de «fiotte», «pouffiasse» et autres joyeusetés.
- Attesté depuis 2003, le terme est issu du romani, langue notamment parlée par les gitans, bohémiens et tziganes, comme l’indique le Trésor de la langue française.
- Il signifie «idiot», «fou» et «imbécile».
- Rien de très positif donc.
- Attention aux conclusions hâtives! L’auteur nous précise que le mot «narvalo» pourra tout à la fois s’employer comme une «insulte légère» ou une marque de tendresse en fonction du ton employé par son locuteur.
- Qu’en est-il de «narvalow»? Avons-nous là aussi à faire à un mot polysémique? Salah Guemriche nous éclaire dans son livre Petit dico à l’usage des darons et des daronnes qui désespèrent de comprendre leurs enfants (Seuil).
- Selon lui, le «narvalow» serait né avec le festival de rap du Narvalow City Club de Montreuil pour désigner un événement «ouf».
- Popaul n’est pas en effet un être totalement autonome même s’il semble parfois prendre le contrôle de celui dont il n’est théoriquement qu’un appendice opérationnel (mais ceci est aussi une autre histoire).
- Le fait que seul Popaul bénéficie d’une dénomination (a-t-on déjà vu un pied se faire appeler Michou ou une oreille Titine ?) dénote cependant un statut très particulier au sein du corpus organique.
- Je dois être emmasqué ! Emplâtre: gifle mais aussi personne un peu lourde.
- T’es vraiment une emplâtre ! Encagner (s’):se mettre en colère Encatané: Adj. syn.
- D’enfoiré.
- Peut être utilisépéjorativement ou administrativement Enculé:Très employé chez les càcous.
- Comme insulte, pour marquerl’étonnement et même comme marque de sympathie pas contre lesarbitres Endoume (aller caguer à ):Aller se faire voir ( Endoume est un quartier célèbre de Marseille) Enfévé: Qui n’as pas été des plus réguliers.
- La mob’ à Gérard c’est une estrasse! Exploser:Frapper violemment.
- S’il arrête pas, je l’explose ! Fada:Fou.
- Pour les càcous, est employé pour désigné un “mordu” un”fan de” SVpat, il est fada de Brassens et Renaud.
- Fadoli:Fou O’fadoli, tu vas pas plonger de là ? Fangoule:Abruti, bon à rien.
- Oh fangoule, tu viens ? Fatche de con:Expression utilisée pour marquer l’étonnement Feu (mettre le feu):mettre la pagaille, l’ambiance.
- Je me suis fracasser dans la Gineste.
- Frandingue:Fada.
- Avec son scooter, Lulu il prend tous les sens interdit, c’est unfranduingue ce mec ! Frescun ( sentir le ):mauvaise odeur.
- Les égouts ils emboucanent le frescun ! Galapia:Goinfre.
- Mon beauf’ c’est un vrai galapia Gàrri: Termeprovençal=rat.
- Employé familièrement pour interpeller quelqu’un.
- Il estrainé ce CD Raquer: Vomir Rascous: A l’origineune teigne, auj.
- Radin Raspi: Radin Rasqué: A coursd’argent.
- Je voulais changer ma tire, mais en ce moment, je suis rasqué ! Rastèque: Misérable.
- Avec ses fringues, il fait rastèque ! Ravan: Nom quis’applique aux choses en mauvais états, aux personnes laides.
- On devine ce que veut dire:Celui là, c’est un vrai rompe-figue ! Rouste:Raclée Rouscailler:Rouspéter Ruiner (se):ou se reléguer: Se faire très mal Roustir (se):Être dupe, se faire avoir.
- Je croyais faire une affaire, je me suis faitroustir.
- Sèguer (se):Se masturber Soupe d’esques: Voir esques Stàssi:Mou, bon à rien Tache:Quelqu’un de nul Tanqué:Bien foutu.
- Onpeut rien lui demander, c’est un tromblon ! Trompette:Quelqu’un de peureux, d’efféminé.
- On dit aussi “tapette” Tronche d’api:Pour interpeller, on dit aussi Figure de poulpe, Blond, ou Gàri ! Troncher:Niquer Viander (se) :Se faire très mal Vier:Dans le langage très vulgaire, le sexe de l’homme.
- Employé au tout bout dechamp par le càcou pour ponctuer sa phrase.
- la politique en son sens plus large, celui de civilité ou Politikos, désigne ce qui est relatif à l’organisation ou autogestion d’une cité (en grec : polis, en latin : civitas ) ou d’un État et à l’exercice du pouvoir dans une société organisée ;
- en général, la politique d’une communauté, d’une société, d’un groupe social, au sens de Politeia, se conforme à une constitution rédigée par ses fondateurs qui définit sa structure et son fonctionnement (méthodique, théorique et pratique). La politique porte sur les actions, l’équilibre, le développement interne ou externe de cette société, ses rapports internes et ses rapports à d’autres ensembles. La politique est donc principalement ce qui a trait au collectif, à une somme d’individualités ou de multiplicités. C’est dans cette optique que les études politiques ou la science politique s’élargissent à tous les domaines d’une société ( économie, droit, sociologie,) ;
- dans une acception plus restrictive, la politique au sens de Politikè ou d’art politique, se réfère à la pratique du pouvoir, soit donc aux luttes de pouvoir et de représentativité entre des hommes et femmes de pouvoir, et aux différents partis politiques auxquels ils peuvent appartenir, tout comme à la gestion de ce même pouvoir.
Pourquoi on dit Schneck ?
D’où vient le mot schneck ? – Dans son premier sens, le mot schneck est emprunté à l’alsacien, une langue germanique du groupe alémanique, apparentée à l’allemand. Schneck, c’est d’abord le mot alsacien pour escargot, On retrouve la même chose en allemand : le mot Schnecke signifie aussi bien « escargot » que « pain aux raisins en forme de spirale » (par analogie de forme).
Pourquoi on dit tarpin
Définition de Tarpin : que signifie le mot “tarpin” ? Antonny nous explique le mot “Tarpin” dans le Dico des Ados © Getty Nous avons rencontré Antonny qui est en classe de seconde au Lycée Charles Nodier de Dôle. Il nous propose de nous expliquer le mot “tarpin”. Il a demandé à quelques personnes dans la rue la signification de ce mot mais personne ne le connaît.
Antonny a sa version. Le mot tarpin signifie beaucoup, voir trop. C’est une expression du langage marseillais. Par exemple : “C’est tarpin cher”, “Il fait tarpin beau !”. loading Tarpin est un mot qui nous vient du langage courant, familier, du côté du Sud de la France, notamment à Marseille. Ses synonymes peuvent être “très”, “trop”, “beaucoup”.
“Elle est tarpin sympa” pourrait se traduire par “Elle est vachement sympa” ou “Elle est trop sympa”. Tarpin a même fait son entrée au petit Robert en 2018. Voici la définition que vous trouverez dans le dictionnaire : “_ Tarpin _, adv, en marseillais signifie trop, en grande quantité, en grand nombre.
Pourquoi Dit-on narvalo
Publié le 08/01/2018 à 17:09, Mis à jour le 09/01/2018 à 08:08 Les propos rapportés de Christophe Castaner ont déclenché une vive polémique sur les réseaux sociaux. PATRICK KOVARIK/AFP Suite aux tweets injurieux exhumés de Rayan Nezzar, nouveau porte-parole de La République en Marche, le maire PCF de Montreuil, Patrice Bessac, a qualifié le délégué général du parti majoritaire de «narvalow».
Oui, l’affaire aurait dû en rester là. Mais c’était sans compter les propos prêtés par RTL à Christophe Castaner, délégué général de La République en marche, Selon la journaliste Pauline de Saint-Rémy, ce dernier aurait déclaré en privé à propos du jeune énarque de 27 ans: «Ce qui m’agace, c’est qu’il a un parcours génial, rare en politique, du talent, et là son vocabulaire de jeune de Montreuil le rattrape.» Une parole qui a tout de go déclenché la polémique sur les réseaux sociaux.
Sur Twitter, le député de la France Insoumise Alexis Corbière a dénoncé un «mépris de classe» tandis que le maire PCF de Montreuil, Patrice Bessac, a dans un langage peu châtié exigé des excuses publiques au secrétaire d’État. Il écrit: «M. Castaner Vous êtes vraiment un narvalow, vos propos sur les jeunes de Montreuil sont indignes, méprisants et la preuve d’une méconnaissance profonde de notre ville et de ses habitants.
J’exige des excuses publiques de la part du Secrétaire d’État et Délégué général de LREM.» Mais qu’est-ce donc que ce «narvalow»? Faut-il y voir un nom d’oiseau? Pas sûr.M. @CCastaner vous êtes vraiment un narvalow, vos propos sur les jeunes de #Montreuil sont indignes, méprisants et la preuve d’une méconnaissance profonde de notre ville et de ses habitants.
J’exige des excuses publiques de la part du Secrétaire d’Etat et Délégué général de LREM. — Patrice Bessac (@PatriceBessac) 8 janvier 2018 Narvalow. Voilà un mot bien «drôle». Si le terme est non seulement absent des dictionnaires, ce dernier possède également deux orthographes: narvalo et narvalow. Deux écritures, qui lui valent parfois d’exprimer son contraire, à l’écrit comme à l’oral.
Wokisme: la France peut-elle résister ?
Est-ce le cas de M. Bessac? Analysons tout d’abord le mot «narvalo». Ainsi que le note Aurore Vincenti dans son excellent livre Les mots du bitume (Le Robert), «le narvalo», écrit sans «w», «c’est personne et tout le monde à la fois». Nous serions tous le «narvalo» de quelqu’un.
Aurore Vincenti précise: «En français, le terme est teinté d’une certaine tendresse puisque c’est ainsi que l’on s’appelle et s’apostrophe communément dans certaines cités, notamment dans l’Est parisien.» Concrètement? Le «narvalo» est un synonyme de «mec», «gros», «frère», lorsque l’on se salue entre amis.
Comprenez quelque chose de démentiel, de dingue. Il donne comme exemple: «Un nouveau site narvalesque: c’est un véritable village, Des danseurs sur scène, une dizaine de graffeurs, un stand de tatouages non-stop tenu par Ozer, de quoi bien manger et bien se rafraîchir, et même des skates 4×4 motorisés.» L’image parle d’elle-même.
Pourquoi on dit Popol
(dimin. PRÉN.) – É chappant par on ne sait quel miracle à la censure, en 1975 le gourmand Pierre Perret nous chante en souriant que tout tout tout, nous saurons tout sur le zizi, le vrai le faux, le laid le beau, le dur le mou qui a un grand cou, le gros touffu, le p’tit joufflu, le grand ridé le mont pelé, tout tout tout tout, il nous dira tout sur le zizi¹.
Et nous de reprendre tous en chœur (d’autant plus facilement que c’est l’été et qu’on est à la campagne couchés dans les foins en train de boire de l’alcool frelaté piqué au grand-père et de crapoter du bois fumant, mais ceci est une autre histoire), faisant du Zizi un succès. Certes Pierrot va tout nous dire sur le zizi auquel on ne connaît pas grand chose, et on l’en remercie, mais il oublie le principal : son nom.
Oui, il serait bien normal de commencer par là car l’organe mâle de miction et de copulation a un petit nom : Popaul, Diminutif bâti sur la base d’un redoublement de Paul, Popaul est généralement usité par l’homme auquel il est relié et sans lequel il n’a aucune capacité à exister.
Popaul n’est pas n’importe qui, ni même n’importe quoi. Tantôt gaillard, tantôt tout rabougri, Popaul a ses humeurs souvent indépendantes de celles du cerveau qui, notez le au passage, tout chefaillon qu’il soit, s’appelle tout simplement cerveau (ce qui est quelque peu ridicule).
On peut même dire que Popaul a ses têtes, bien qu’il semble se préoccuper nettement plus d’autres parties de l’anatomie de ses interlocutrices ou interlocuteurs. Doté d’une véritable sensibilité, Popaul n’est pas de marbre et souffre de son origine latine, paulus, qui signifie petit. Aussi Popaul s’évertue-t-il sans relâche à grandir.
À tel point que le toujours à l’affût marketing s’en est saisi (si l’on peut s’exprimer ainsi) et propose des techniques pour l’aider : enlarge your penis serine-t-il en angliche (le marketing jacte en angliche, ça pose son homme) à longueur de bannières clignotantes sur les Internets, envoyant s’étioler en surannéité ce bon vieux Popaul franchouillard et nettement moins vendeur.
Pourquoi on dit boug ?
(Nom commun 1) Des créoles antillais ou réunionnais, signifiant « gars ». (Nom commun 2) Du japonais 盆, bon.
Comment on dit Calin En Marseillais ?
Un câlin, une étreinte Si un(e) Marseillais (e) dit « Viens faire un gâté! », c’est une invite à venir dans ses bras.
Comment on dit nul en Marseillais ?
Insultes Marseillaises – Alibofis: Mot employé aupluriel puisqu’il désigne les c (en français on dit Testicules – Arrêtede me gonfler les alibofis Arapède: Nom féminin pourreprocher de coller d’un peu trop près ( Liz, c’est une vraie arapède) Bàbi:crapaud ou dadais.
Employé avec une connotation raciste, il n’y a pas si longtemps, pour désigner les Italiens àMarseille Barjaquer: Parlerabondamment Bèbe ( faire la):Faire lagueule.quand Le PSG gagne, Oh Misère, au Stade Vélodrome ! Biberine (partir en): Faire n’importe quoi. Souvent transformé en Partir en bib’ Bartavelle ou Bazarette: au féminin, personne au bavardage incessant Bendeu: Gifle magistrale Bidonas: Frimeur Boquer: Perdre la face, essuyer un blâme surtout en public, elle l’a fait boquer devanttout le monde! Boudin:A Marseille, c’est aussi une femme de peu de vertu.
Bordille: C’est une insulte gravemais aussi les poubelle à Marseille! Bouche: “le beau parleur qui agit peu” Zé c’est une bouche ! Bouger:Voler. Je me suis fait bouger ma mob’ Boutis: Adjectif provençal. S’emploie comme injure envers les homosexuels Brêle:Nom Féminin Personne peu douée Broque:Un bon à rien ou une personne mal habillée Cabestron : Fille pas jolie.
Cagade: Grosse bêtise Cague (se): Avoir peur. Les visiteurs ils se caguent au Vélodrome ! Càgole:Fille de très petite vertu et de mauvais genre, et pendant féminin ducàcou ! Calu:Fou. Il a descendu la Gineste come un calu ! Canette: (Ne pas toucher) Être bidon. Caraque:Un mec douteux, qui craint Chaoui: (sentir le ) Puer.
Dédé il sent le chaoui des montagnes. Chasper:Avoir les mains baladeuses Chibron ou chichi:sexe masculin Chien des quais:Employé pour désigner quelqu’un d’ingrat ou malveillant Chimeur:Gros buveur. Le Toine, il chime comme un trou ! Choune:sexe de la femme Chourraver:Voler Je me suis fait chourav’ un CD Con:Plusieurs expressions injurieuses utilisant le mot “con” *Con de ta bouche, Con de ta mère, Con de tes os, Con de ta race, Con detes morts.
Counas:Adjectif provençal Gros con Cul cousu:Pas facile à dérider, à faire rire Décalquer:Frapper violemment Déchiré:Ivre synonyme d’ “empégué” Plus question de se déchiré pourun Abstinent ! Défoncé ou Destroy:Très, très fatigué Dégun: signifiant Personne mais aussi pour dire nul. Jecrains dégun ! Lulu c’est dégun,
Y’avait dégun au Stade! Destrussi:Casseur. Hier, au Casin de Cassis, des destrussis ont tout cassé. Détronché: Personne quelque peu dérangée Djobi: Fou furieux. Ne t’amuses pas avec lui, c’est un djobi ! Emboucaner: puer ou flétrir la réputation: Oh! Ca emboucane ici! Ce salaude Manu, ilm’a emboucané ! Emmasquer:Porter malheur En ce moment, rien ne va.
Je le retiens cet enfévé! Engambi:Problème, malaise. Y a engambi avec les condés! Engatser (s’) ou engrainer (s’):S’énerver Esbigner (s’) ou escaper (s’):s’enfuir ou fuir Esque:Vas te faire une soupe d’esques, envoyer promener Estamper (se):se faire avoir Estramasser: (s’)Tomber de tout son long Estrasse:Vieillerie.
Le 6 mars au Dôme, pour la venue de Renaud, ont’y a mis le feu ! Fève (soupe de ):On s’en sert pour congédier quelqu’un, pour lui dire que l’on est pasdupe de ses bobards Fiffre:Personne nulle,. C’est un fiffre ! Figure (Tomber la ):Se sentir ridicule, prendre un boque Filade:Bagarre; Il y a eu filade avec les condés! Filer (se) :Se battre Fracas ou Fracada:Très fatigué Fracasser ( se):Se faire mal.
Gaver:Agacer. Tu me gaves de parler toujours de Zizou Gobi: Petit poisson célèbre pour ses gros yeux. Le compareer à un être humain,c’est le traiter d’ahuri: “T’as vu ses yeux de gobi ?” Gonfler:Importuner, agacer, irriter. tu me gonfles avec tes salades ! Grognasse:Trainée.
Je vais plus en boite, le samedi, y’a que des grognasses ! Guaï: Catastrophe;S’emploie pour une personne, surtout un enfant qui crée problèmes Jobastre: Quelqu’un aux facultés intellectuelles laissant à désirer ou celui qui prenddes risques énormes. Faut être jobastre ppour suater de là ! Live ( partir en ):Faire n’importe quoi.
Louise:Un “oubli” silencieux et malodorant. Cà fouette. c’est toi qui lâchedes louises ? M’enfouti: Jem’en fous Mac (faire le):Frimer Mafalou:Individu masculin aux allures douteuses et aux moyens d’existencemystérieux Manger (se ): Se faire très mal en tombant Manjiapan: Masculin, un sans gêne Manon (le con de)Utilisé pour exprimé le dépit ou l’irritation Maraver:Se battre.
Hier, on s’est maravés avec les supporters du PSG Marque-Mal:Personneridicule, mal sapé Martigues:Être de Martigues, avoir une intelligence peu développé Marronner:Râler Massacan:Celui qui travaille mal Mauvaise limonade:Signifie “ça tourne mal” Méfi:Attention M’en fouti:Je m’en fous ! Misère (faire la ):Emmerder fortement quelqu’un Mère (Bonne):Dans la joie ou dans la peine, on l’invoque toujours! Morfler:Recevoir une correction ou vieillir de manière rapide et visible Mounine:Sexe de la femme Mouscaille (être dans la):Avoir des ennuis Moute: Être moute, être foutu Muge:Sexe de l’homme Nervouzzi (faire le):Quelqu’un qui fait le nerveux, le dur, mais de manière ridicule Niasquer (se) :Se saouler Nibe: Rien.J’ai eu nibe pour mes 54 piges Nifler:Gonfler, irriter; Avec tes histoires à la con, tu me nifles! One again:Lorsque l’on parle de quelque chose de particulièrement réussi.
Les càcousajoutent “one again a people you” pour américaniser Ouaille:Pagaille. J’ai mis 2H pour faire 2km, c’est le ouaille sur la Corniche! Pachole:Sexe de la femme Pacoulin:Péquenot Panade:Employé au sens figuré pour désigner de gros ennuis; Être dans la panade Parler meilleur:Dans le sens de faire attention à ce que l’on dit.
Si tu me parles pasmeilleur, je t’en file une Pastisson:Une gifle Patrouille ( aller se faire une):Aller se faire voir Payot ou Pébron:Personne nulle Pédé:Sans commentaire. Peuchère:Le pauvre ! Piancàmpi: Défini un individu qui fait des choses sans soin; Ne lui confie pas ce travail,c’est un vrai piancàmpi! Piter:Se faire avoir Pointer:Refouler.
Il s’est fait pointer devant tous ses collègues Pouffiasse:Femme aux mensurations impressionnantes, aux moeurs peu honorables Pourrave:Bidon. Le dernier dee Jojo, il est pourrave ! Pourrir (quelqu’un):Faire de sévères remontrances Putasse:Personne se conduisant de la pire façon au olan de la morale Pute:Prostituée mais aussi personne ( homme oou femme) qui agitsournoisement ou sans scrupule Quique ou quiquette:Sexe de l’homme Radasse: Injure, trainée pour une femme Rambler (se): Se tenir à carreau, marcher laque entre les jambes Rainé: Bidon.
Titou, il aquitté sa femme pour un ravan pas possible. Ravi: Simple, naïf. Le ravi de la crèche RENAUD: Càcoud’honneur de la Vile de Marseille en tant que supporter del’O.M et auteur /interprète de l’album ” La Belle de Mai” -1994- Roulade:Frimeur. Chris, c’est une putain de roulade ! Rompe-figue: Casse-figue.
Une nana bien tanquée Taquet:Coup de poing Taraillettes(couper les) Être fâché Taxer:Voler. Je me suis fait taxer ma BM Tchoutchou:Stupide, âne Testard:Têtu Teston:Tête; Je lui ai filer un coup de teston, je te dis pas ! Toti:Idiot, balourd. Le toti, c’est celui qui sait pas se débrouiller Je le connais,c’est un toti, il va encore faire des cagades! Tromblon: C”est une femme aux formes peu harmonieuses ou un homme pas sérieux.
On l’emploie aussi pour direqu’on a en a plein le dos “Mon vier, je te laisse faire! Vier (Faire des):C’est faire des manières ou chercher querelle Viole:Personne qui répète toujours la même chose, qui radote Voile ( Con à la ):Abruti complet Vrac (être en ):être très fatigué Vrille (partir en ): Faire n’importe quoi, partir en live ou en biberine Zou: Expression la plus employé à Marseille pour entraîner à l’action.
Comment se définir la politique ?
Discours de Mikhaïl Gorbatchev lors d’une session de l’ Assemblée générale des Nations unies ( RIA Novosti, archive 828797). Notion polysémique, la politique recouvre :
Comment signifie quoi en français ?
Interrogation portant sur la manière, ou exclamation à valeur intensive : Comment qu’il a fait?
Quel est le sens de Biloute ?
Biloute n.m. et adj. Dans le Nord, terme d’affection (pour désigner un petit garçon ou un homme, particulièrement).