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Pourquoi j’ai la gorge qui gratte
Quelles allergies provoquent la toux ? – Les allergies les plus communes à l’origine de la toux allergique sont provoquées par des allergènes qui circulent dans l’air :
- le pollen ou les graminées ;
- les acariens présents dans la poussière ;
- la moisissure ;
- les poils de chat, de chiens ou d’autres animaux sont également souvent à l’origine de la réaction allergique.
Par ailleurs, l’asthme rend souvent les personnes plus vulnérables aux allergiques et peut donc souvent se retrouver avec une toux allergique. Bon à savoir : la toux allergique peut être plus forte ou virulente le soir, surtout si elle est accompagnée d’une rhinite,
Comment arrêter la toux la nuit ?
Se préparer une inhalation à base d’eucalyptus peut apporter un bon soulagement pour calmer la toux la nuit. On pourra faire son inhalation 15 minutes avant l’endormissement en veillant par la suite à bien se moucher afin d’éliminer le mucus excédentaire.
Comment faire passer une quinte de toux ?
Boire une tisane à base de thym – Il est conseillé également de boire de la tisane médicinale à base de thym pour calmer la toux. Cette herbe a plusieurs vertus, dont celle de calmer le mal de gorge et de diminuer les quintes de toux. Faites infuser ½ cuillère à thé de thym frais ou séché dans une tasse d’eau pendant 10 à 15 minutes.
Pourquoi le miel me pique la gorge ?
Marco Verch © Flickr Le miel et les substances issues de la ruche séduisent de plus en plus les Français au même titre que les produits « naturels » et « bio » qui fleurissent dans les rayons des magasins. Ces produits très prisés sont en effet réputés bons pour la santé.
- En France, la consommation annuelle moyenne de miel par personne est d’environ 600 grammes.
- Cependant, le miel est potentiellement allergénique.
- Il contient de nombreuses substances liées au butinage des fleurs par les abeilles : des pollens, du propolis, des composants dérivés des abeilles (enzymes présentes dans les sécrétions des glandes salivaires et pharyngées, cire, produits de desquamation), des fèces de pucerons (miellat).
Ce sont les protéines de pollen qui représentent les principaux allergènes impliqués dans l’allergie au miel. Selon son origine, dix grammes de miel renferment entre 0,26 et 1,3 mg de pollens, ce qui représente environ 20.000 à 100.000 grains. En 2018, à la suite du signalement de plusieurs cas d’allergie sévère après consommation de compléments alimentaires contenant des produits de la ruche (gelée royale, propolis) et des pollens, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES) a rappelé que les personnes allergiques aux pollens peuvent potentiellement présenter un risque d’allergies lors de consommation d’aliments et de compléments alimentaires à base de produits de la ruche.
- Comme l’indiquent les allergologues Guy Dutau et François Lavaud dans le numéro de novembre 2019 de la Revue Française d’Allergologie, le premier cas indiscutable d’allergie alimentaire au miel a été rapporté en France, en 1984, chez un apiculteur âgé de 42 ans.
- Celui-ci était également atteint d’allergie au pollen des plantes composées (armoise, camomille, pissenlit).
D’autres allergologues français ont décrit en 1989 le cas d’un homme de 50 ans ayant développé une violente réaction allergique (anaphylaxie aiguë) quelques minutes après avoir ingéré du miel de tournesol. Quelques années plus tôt, ce patient avait présenté une allergie orale au céleri.
- Par la suite, des observations cliniques isolées d’allergie au miel et de petites séries de cas ont été publiées dans la littérature médicale internationale.
- Il s’agissait d’adultes âgés de 22 à 68 ans.
- Des symptômes bénins à graves Les symptômes de l’allergie alimentaire au miel sont variés : urticaire généralisée, urticaire et angio-œdème (œdème du derme profond et des tissus sous-cutanés), urticaire et rhinite, angio-œdème au niveau des muqueuses oropharyngées ou des lèvres (syndrome oral), douleurs abdominales et/ou diarrhée, asthme, anaphylaxie aiguë (réaction allergique soudaine et sévère).
Le diagnostic d’allergie alimentaire au miel repose sur l’histoire clinique du patient et la réalisation de tests cutanés avec le produit incriminé, le dosage des anticorps sanguins IgE spécifiques n’étant pas toujours informatif. Il convient de souligner que la France importe près de trois-quarts des miels consommés, soit environ 30.000 tonnes par an.
- Du fait de la mondialisation du marché, l’origine des miels est très diverse.
- Dans la littérature médicale internationale, on dénombre une vingtaine de cas d’allergie à la gelée royale (consommée partout dans le monde, mais surtout en Asie et en particulier au Japon).
- En règle générale, les symptômes sont graves.
Les patients à risque d’allergie alimentaire à la gelée royale sont les personnes allergiques aux venins d’abeille et surtout les sujets atopiques (présentant une prédisposition génétique au développement de plusieurs allergies). Amateur de rosée matinale De rares cas d’allergie ont été rapportés par des allergologues français et espagnols après ingestion de pelotes de pollens.
Ces agglomérats de grains de pollens, que les abeilles transportent entre leurs pattes jusqu’à la ruche, sont consommés pour leurs vertus tonifiantes. Néanmoins, il semble qu’aucun cas d’allergie alimentaire n’ait encore été rapporté avec la propolis, matière visqueuse fabriquée par les abeilles à partir de leurs sécrétions et d’une série de substances résineuses, recueillies sur certaines parties de végétaux,
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Cette résine, d’une couleur allant du jaune-clair au brun très foncé, est transportée par l’abeille puis modifiée par l’apport de cire et de sécrétions salivaires de l’insecte. Des cas d’allergie cutanée (dermatose de contact) ont en revanche été rapportés dans un cadre professionnel, la propolis étant de plus en plus utilisée en cosmétique bio et dans certaines préparations médicinales.
En 2003, des allergologues turcs ont décrit le cas d’un homme de 49 ans qui, atteint de rhinite et d’asthme allergique (acariens et divers pollens), présentait également une allergie alimentaire au miel. Il avait la curieuse habitude de boire la rosée matinale accumulée dans des pétales de roses, jusqu’au jour où il a présenté un jour une anaphylaxie.
Il arrive aussi aux amateurs de produits diététiques de consommer directement des gâteaux ou des rayons de miel. De saveur sucrée, ces motifs sont construits par les abeilles pour y déposer le miel. Dans la mesure où ces structures contiennent des pollens, du miel et des allergènes d’abeille, ils pourraient présenter un risque allergique même si aucun cas n’a été décrit à ce jour.
Prévoir le risque allergique selon le miel Afin de mieux appréhender le potentiel allergisant des miels de diverses origines, un nouveau procédé (allergomélissopalynologie) a été développé récemment. Cet outil, conçu par Claude Nonotte-Varly, allergologue au Centre hospitalier général de Hyères (Var), a permis d’étudier 226 échantillons de miels du monde, provenant des plantes mellifères* et non mellifères** et englobant les différentes caractéristiques des produits commercialisés sur le marché français.
Au total, les miels des principaux producteurs et exportateurs mondiaux ont été analysés dans l’étude conduite par cet allergologue. Ceux-ci provenaient d’Europe (Espagne, Italie, Portugal,Hongrie), d’Amérique centrale et du sud (Mexique, Argentine, Chili), d’Europe de l’Est et du Moyen Orient (Ukraine, Turquie) ou d’Asie (par le biais des miels « hors EU »).
- En 2016, 31.000 tonnes de miel ont été importées en France notamment de Chine, d’Espagne, d’Ukraine ou encore d’Amérique du Sud, contre 9.000 tonnes de production nationale.
- Différents miels monofloraux (lavande, tournesol, colza, etc.) ou polyfloraux d’origine française ont également été testés, de même que des miels des DOM-TOM ainsi que ceux du Maghreb, du Yémen, du Pakistan, du Kenya, du Burkina Faso.
L’analyse montre que « 95 % des miels provenant de toutes les parties du monde comportent des pollens allergéniques mais à l’état de traces 7 fois sur 10 ». Abeille butinant une fleur de tournesol. © Pixabay Plus d’allergènes dans le miel de tournesol Concernant les pollens allergéniques provenant de plantes mellifères, l’étude révèle que seul le tournesol en renferme des pourcentages très élevés. « Le miel monofloral de tournesol compte 80 % ou plus de pollens allergéniques ».
Par ailleurs, de nombreux miels, notamment d’assemblage, comportent du pollen de tournesol. Dans le monde, le tournesol est en effet une ressource apicole particulièrement abondante. Enfin, concernant les miels provenant des plantes non mellifères, l’étude montre que, parmi les pollens contenus dans le miel, « les pollens d’armoise, de graminées, d’olivier et de chêne sont des pollens allergéniques dont la proportion peut dépasser 25 %, voire 50 % du total des pollens d’un miel ».
Au total, les résultats de cette étude peuvent sans doute contribuer à mieux évaluer le risque allergique de certains miels chez les personnes les plus susceptibles de développer une réaction, notamment celles souffrant d’allergies polliniques. Marc Gozlan (Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook ) * On dit d’une plante qu’elle est mellifère lorsqu’elle sécrète du nectar.
Les plantes mellifères sont celles dont les produits sont exploitées par l’apiculture. * Les plantes non mellifères sont le chêne, l’olivier, les graminées, le plantain, l’armoise et le chénopode. Pour en savoir plus : Dutau G, Lavaud F. Le miel et les produits de la ruche. Des « produits naturels » auxquels on peut être allergique ! Rev Fr Allergol.2019 Nov;59(7):459-462.
doi : 10.1016/j.reval.2019.10.001 Nonotte-Varly C. Les pollens à potentiel allergénique des miels du monde. Intérêt d’un nouveau procédé : l’allergomélissopalynologie, Rev Fr Allergol.2019 Nov;59(7):493-499. doi: 10.1016/j.reval.2019.03.006 Aguiar R, Duarte FC, Mendes A, Bartolomé B, Barbosa MP.
Anaphylaxis caused by honey: a case report, Asia Pac Allergy.2017 Jan;7(1):48-50. doi: 10.5415/apallergy.2017.7.1.48 Vezir E, Kaya A, Toyran M, Azkur D, Dibek Mısırlıoğlu E, Kocabaş CN. Anaphylaxis/angioedema caused by honey ingestion, Allergy Asthma Proc.2014 Jan-Feb;35(1):71-4. doi: 10.2500/aap.2014.35.3718 Dutau G, Rancé F.
Allergies au miel et aux produits de la ruche, Rev Fr Allergol.2009 Oct;48 (Suppl 1):S16-S22. doi: 10.1016/S1877-0320(09)72479-0 Katayama M, Aoki M, Kawana S. Case of anaphylaxis caused by ingestion of royal jelly, J Dermatol.2008 Apr;35(4):222-4. doi: 10.1111/j.1346-8138.2008.00448.x Karakaya G, Kalyoncu AF.
A case of anaphylaxis due to rose pollen ingestion, Allergol Immunopathol (Madr).2003 Mar-Apr;31(2):91-3. doi : 10.1016/s0301-0546(03)79175-7 Birnbaum J, Tafforeau M, Vervloet D, Charpin J, Charpin D. Allergy to sunflower honey associated with allergy to celery, Clin Exp Allergy.1989 Mar;19(2):229-30.
doi: 10.1111/j.1365-2222.1989.tb02369.x Bousquet J, Campos J, Michel FB. Food intolerance to honey, Allergy.1984 Jan;39(1):73-5. doi: 10.1111/j.1398-9995.1984.tb01936.x
Pourquoi quand J’avale ma salive ma gorge me gratte ?
Pourquoi quand j’avale ma salive j’ai mal à la gorge ? – La difficulté à avaler ( dysphagie ) qui accompagne le mal de gorge peut être due à une angine, le plus souvent d’origine virale. Cela peut également être du à un reflux gastro-œsophagien (RGO),
- Cependant, si vous avez un mal de gorge d’un côté seulement, il peut s’agir d’une angine à streptocoque ou d’une angine de Vincent, une infection bactérienne qui nécessite un traitement antibiotique,
- Dans ce cas, vous aurez plutôt un mal de gorge sans toux, avec des ganglions et une fièvre modérée.
La mycose buccale est une autre cause possible du mal de gorge avec des difficultés de déglutition, Cette infection est provoquée par un champignon, le Candida Albicans et touche plus souvent les bébés, les personnes âgées et les personnes souffrant de déficit immunitaire (comme les personnes sous chimiothérapie).
Pourquoi ma gorge me pique la nuit
Causes d’un mal de gorge la nuit – Selon le site, dans la majorité des cas (90 % des patients), le mal de gorge est d’origine virale. Les virus qui infectent la gorge sont également responsables d’autres affections respiratoires, comme le rhume et la grippe.
- Un nocturne peut également être causé par des allergies, un air sec dans la chambre à coucher, la pollution de l’air intérieur ou le tabagisme.
- Une autre cause moins courante de cette affection est une infection bactérienne à streptocoques du groupe A, autrement appelée angine streptococcique.
- Outre la douleur dans la gorge, cette infection bactérienne peut provoquer des amygdales rouges et gonflées, de petits points rouges au fond de la gorge, de la fièvre, des nausées, des vomissements, un gonflement des ganglions lymphatiques dans le cou, des maux de tête, des courbatures ou une éruption cutanée.
Heureusement, seuls 5 à 15 cas de mal de gorge sur 100 chez l’adulte sont dus à une angine streptococcique, mais chez l’enfant, le taux d’incidence passe à 20 à 30 cas sur 100. Voici d’autres causes de mal de gorge la nuit :
Reflux acide, qui est une affection dans laquelle le contenu de l’estomac remonte dans la gorge, provoquant douleurs et irritations. Mononucléose, qui est une infection virale touchant l’ensemble du corps, souvent appelée mono. Tension musculaire dans la gorge. Calculs amygdaliens (caséum), qui sont des débris alimentaires incrustés dans les amygdales, entraînant une inflammation des tissus et une gêne.
Quels sont les symptômes de la Tracheite
Trachéite – Définition, symptômes et traitements | Elsan La trachéite est une inflammation de la trachée, qui peut être causée par une variété de facteurs tels que des infections virales ou bactériennes. Retrouvez toutes les causes, symptômes et traitements de cette condition médicale.
Trouver un spécialiste ORL à proximité La trachéite est une maladie bénigne qui se traite facilement chez l’adulte comme l’enfant. Chez le bébé, l’on parle de bronchiolite ou de bronchite. Toutefois, des complications (arrêt cardiorespiratoire, pneumopathie.) peuvent survenir selon la cause de la trachéite, par exemple en cas de trachéite bactérienne.
Les patients sont alors admis en soins intensifs. Dans tous les cas, consulter un médecin est le réflexe santé à avoir pour soulager au plus vite les symptômes et bénéficier du traitement adéquat. La trachéite survient en cas d’inflammation de la muqueuse de la trachée, cet organe du système respiratoire d’une dizaine de centimètres de long (12 cm chez l’adulte contre 2,5 cm chez le nourrisson) situé au niveau de la zone basse du cou et haute du thorax, reliant le larynx (au niveau de la gorge) aux bronches. La trachéite aiguë se manifeste par une inflammation passagère de la trachée. Le patient guérit au bout de quelques jours, voire semaines. Elle est à l’origine d’une toux irritative : sèche ou grasse. La trachéite chronique se caractérise par sa durée,
- Elle dure plus longtemps, et s’étale de quelques semaines à quelques mois.
- Elle est plus longue à guérir en raison de l’inflammation prolongée dans le temps.
- La trachéite virale, comme son nom l’indique, est causée par un virus, et représente la majorité des cas,
- La trachéite peut être contagieuse selon son origine : virale ou infectieuse (les particules infectieuses qui se propagent dans l’air après que la personne a toussé).
Il peut s’agir d’une infection par un virus ou d’une infection bactérienne. Ainsi, la contagion est possible quand la cause est virale, par exemple une infection ORL (, ). La trachéite bactérienne, bien que rare, survient en cas d’infection bactérienne.
- Elle peut entraîner une dyspnée, autrement dit un essoufflement, car la respiration devient difficile et inconfortable.
- Mais aussi un stridor, ce bruit aigu et anormal produit durant la respiration.
- Il est dû à une obstruction partielle du larynx ou de la trachée.
- Cela peut toucher aussi les enfants de tout âge.
Les causes sont multiples :
Une infection d’origine virale (en particulier durant la saison hivernale) ou bactérienne. En cas de trachéite chronique, la cause peut être un traumatisme, une pathologie comme la tuberculose, la syphilis, une infection pulmonaire telle une bronchite, une pharyngite Une exposition à des produits irritants comme des vapeurs de chlore, des solvants, la fumée de tabac. Une surinfection bactérienne. Des troubles respiratoires graves. Une origine allergique, l’on parle alors de trachéite allergique en lien avec une rhinite allergique. Il peut s’agir d’une allergie aux pollens, acariens, poils d’animaux, etc.
Bon à savoir : les personnes souffrant de reflux gastro-œsophagien peuvent être sujettes à des toux chroniques. Cela s’explique par des remontées acides. Hormis la prescription de médicaments pour réduire la production d’acide par l’estomac, adopter les gestes hygiéno-diététiques peut aider.
- Les symptômes les plus fréquents sont la toux et le mal de gorge,
- Le patient peut aussi constater des douleurs au niveau de la trachée, une voix enrouée, un écoulement nasal.
- La coloration du crachat change et devient jaune ou verdâtre.
- La trachéite est source d’inconfort, qu’elle soit d’origine virale ou bactérienne.
Mais s’agissant de la trachéite bactérienne, elle est souvent précédée de la forme virale, qui touche les voies respiratoires supérieures. Cela peut être dû à des virus de la grippe (A, B), au virus respiratoire syncytial (VRS), etc. qui vont provoquer des lésions au niveau des muqueuses des voies respiratoires.
Par la suite, les bactéries (comme le Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae) vont proliférer au niveau de la trachée endommagée. Il en est de même chez les patients porteurs d’un appareil de trachéotomie sujet à la colonisation bactérienne de la sonde (canule de trachéotomie). Dans les cas sévères, la colonisation bactérienne est liée à une intubation endotrachéale, chez les patients ayant besoin d’une voie respiratoire artificielle.
Le saviez-vous ? La trachéite ne doit pas être confondue avec les symptômes du Covid. Dans les deux cas, il peut y avoir une toux irritative, de la fièvre, la cause peut être un virus. Cependant, le Covid peut entraîner une difficulté à respirer profondément.
- Un test PCR permet de faire le diagnostic.
- La trachéite peut être causée par des infections virales ou bactériennes, des irritants tels que la fumée de tabac, des allergies aux pollens, aux acariens, aux poils d’animaux, etc., des surinfections bactériennes, des troubles respiratoires graves, et des pathologies comme la tuberculose et la syphilis.
Les personnes souffrant de reflux gastro-œsophagien peuvent également être touchées. Pour différencier une trachéite virale et une trachéite bactérienne, des examens d’ imagerie sont souvent nécessaires. La durée de la trachéite varie d’une personne à l’autre et peut durer jusqu’à quatre semaines selon son type et sa gravité. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur l’Oto-rhino-laryngologie chez ELSAN
1er opérateur de santé privé en France 28 000 collaborateurs 45 000 naissances par an 4 200 000 de patients chaque année 7 500 médecins 140 établissements : Trachéite – Définition, symptômes et traitements | Elsan
Quel sirop pour gorge qui gratte ?
En sirop, il est possible de prendre Humex toux sèche (1 goder doseur toutes les 4 heures pour l’adulte). Il existe également d’autres antitussifs comme le Toplexil, qui sera par contre contre-indiqué si les sécrétions bronchiques s’épaississent, en cas de glaucome, d’adénome prostatique.
C’est quoi une toux d’irritation ?
Qu’est-ce qu’une toux d’irritation ? – Une toux d’irritation, c’est une toux provoquée par une irritation des voies respiratoires : plus on tousse, plus l’irritation augmente, et plus on tousse à nouveau. La toux d’irritation est fatigante et peut faire mal à la poitrine quand elle dure longtemps.
Pourquoi l’oignon empêche de tousser ?
L’oignon – Plus suprenant, l’oignon fait également partie des remèdes contre la toux. Composé de soufre, il est anti-inflammatoire et anti-infectieux. Son action est mécanique : ses principes actifs vont favoriser l’expulsion du mucus et les expectorations en fluidifiant les sécrétions.