10 étapes pour retrouver le plaisir simple de cuisiner
Emmanuelle TurquetRédactrice Ses convictions : La cuisine thérapie, quand cuisine rime avec bien-être et développement personnel !
Vous manquez d’inspiration et vous avez peur de sortir des sentiers battus en cuisine et vous avez l’impression de faire toujours les mêmes plats ? Vous n’en pouvez plus de préparer des repas plusieurs fois par jour et vous vivez la cuisine comme une obligation voire comme une corvée ? Vous préférez manger à l’extérieur ou êtes un adepte de la livraison à domicile faute d’avoir le temps et/ou l’envie de vous mettre aux fourneaux ? Vous ne cuisinez pas parce que vous avez peur de vous y mettre et vous êtes persuadé(e) que ce n’est pas un truc pour vous ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul(e) et surtout, ce n’est pas une fatalité ! La cuisine peut à bien des égards être vécue comme un moment dénué de plaisir, inconfortable voire douloureux mais (re)trouver le plaisir simple et décomplexé de cuisiner, c’est possible en suivant ces quelques suggestions : 1/ Dédramatisez ! Se faire plaisir en cuisine est accessible à tout le monde.
- Bien sûr, il y a des grands chefs et des cuisiniers hors pair qui ont érigé la cuisine au rang d’art, mais n’oubliez jamais que leurs compétences sont issues d’un long apprentissage : ces personnes ont appris à marier les saveurs et ont beaucoup pratiqué avant de mitonner des plats inoubliables.
- Au quotidien, cuisiner c’est plus simple que cela et ça ne veut pas nécessairement dire passer des heures en cuisine ni même suivre une recette compliquée.
Dès lors que vous préparez et assemblez des ingrédients, qu’il y ait cuisson ou pas, que ce soit pour vous seul ou pour des convives, vous êtes en train de cuisiner. En fait, pour faire court, cuisiner c’est tout ce qui se passe en amont avant de se mettre à table : choisir des ingrédients, décider de ce dont on a envie de manger, préparer un plat, dresser et présenter le tout dans un contenant approprié et enfin se préparer à savourer.
Donc oui, c’est indéniable, vous savez cuisiner ! 2/ Partez faire vos courses sans liste et laissez-vous inspirer par le marché. Le hic en cuisine, c’est très souvent de choisir une recette pour se lancer : on commence par penser la recette avec la tête, par s’imaginer le résultat, par se demander si on est capable de réaliser le plat.
C’est pourquoi je vous propose de faire les choses à l’envers et de partir au marché sans idée particulière, la tête vide mais les sens aux aguets ! Essayez par exemple d’acheter des produits que vous n’achetez pas d’ordinaire ou que vous n’avez jamais cuisinés (que ce soit des légumes, des fruits, du fromage ou des herbes aromatiques).
- Une seule règle, allez vers la nouveauté sans vous demander ce que vous allez en faire,
- Ecoutez juste si les aliments vous « appellent ».
- Vous pouvez aussi investir dans des huiles ou des condiments originaux (huile de pépins de courge, de sésame ou de cacahuètes, chutney à la mangue, fruits séchés).
De nos jours, le choix est très vaste et permet vraiment de débrider sa créativité. Et vous allez voir que peu de choses (et un budget modeste) suffisent pour changer la saveur d’un plat et se conforter dans l’idée que ce n’est pas si compliqué de se faire plaisir en cuisine ! 3/ Offrez-vous un moment rien qu’à vous ! Pour (re)découvrir le plaisir de cuisiner, il faut souvent en passer par une bulle pour vous retrouver en cuisine et avoir la liberté de faire comme bon vous semble et au rythme qui vous convient.
- Sans se sentir tenu de faire un plat qui correspond aux goûts des autres, sans sollicitation intempestive qui empêche de se centrer sur soi, sans objectif d’être prêt à passer à table à telle heure.
- Dans la phase d’expérimentation qui va suivre, l’idée est bien de vous offrir un moment d’intimité juste pour vous,
Très souvent, le fait de ne pas avoir de convive à nourrir et de ne pas se fixer de contrainte de temps suffit à faire tomber la pression et à être dans le simple plaisir de faire et d’apprendre avec ses mains. N’hésitez pas à mettre en place un rituel (musique douce, chants de la nature) pour vous aider à vous reconnecter à vous.
- Bien sûr, pour que cette pause soit la plus relaxante possible, éloignez les portables et autres écrans électroniques.4/ Prenez le temps de sentir, toucher, caresser, respirer, goûter les aliments que vous avez devant vous.
- Respirez profondément, fermez les yeux quelques minutes si cela vous est agréable et essayez d’être pleinement présent(e) à ce que vous vivez.
N’oubliez pas que la cuisine est une expérience corporelle et sensorielle avant tout, alors mettez votre tête de côté et observez vos idées et vos jugements sans vous y attacher. Et maintenant, autorisez-vous à jouer avec les aliments ! Oui, oui, vous m’avez bien entendue : étalez votre butin sous vos yeux, disposez-le comme bon vous semble (par couleurs, par saveurs, par catégories d’aliments.), sortez des ingrédients du frigo et des placards.
- Contemplez le tableau que vous avez devant les yeux, et laissez-vous inspirer et surprendre par les odeurs, les textures, les goûts et les couleurs,
- Prenez le temps de faire connaissance et d’apprivoiser les différents ingrédients, de les regarder comme si c’était la première fois et d’entendre ce qu’ils ont à vous dire.
Quand vous aurez pris connaissance des propositions créatives, fermez les yeux et laissez venir des images sur votre écran mental, puis faites-en quelque chose. Commencez à éplucher et à couper des légumes, à mélanger des ingrédients, même si vous ne savez pas où vous allez, parce que le plus dur, c’est souvent de démarrer justement.
- Mettez-vous en mouvement, laissez parler vos mains et vos papilles et testez des combinaisons d’ingrédients, sans vous censurer et sans vous demander si ça va ensemble.
- Soyez dans une démarche « tiens, pourquoi pas ? », et tentez d’oublier tout ce que vous avez l’habitude de faire avec l’ingrédient que vous avez en face de vous.
Oubliez notamment les règles diététiques et autres principes d’associations culinaires, et fiez-vous seulement à votre intuition et à vos papilles, en laissant émerger ce qui vient, sans jugement. N’hésitez pas à improviser et à être dans le jeu, amusez-vous,
Si ces images ou ces mots vous parlent, imaginez que vous êtes en train de faire de la tambouille, de patouiller ou de jouer à la dînette comme lorsque vous étiez enfant. Autorisez-vous à donner libre cours à vos envies et laissez-vous surprendre par ce qui vient.6/ Ne vous fixez pas d’objectif de résultat ! On l’a déjà dit, mais on ne le répètera jamais assez : il ne s’agit pas de faire un menu complet, ni même un plat spécifique.
Dans les expériences qui vont suivre, je vous invite à lâcher avec le résultat, à accepter de ne pas savoir à l’avance ce que vous allez faire et d’être simplement à l’écoute de vos envies et de ce qui vient. Ne vous demandez pas à quoi cela va ressembler, si vous saurez reproduire votre plat ni même si cela sera bon.
- Contentez-vous (et c’est le plus dur) de porter votre attention sur ce que vous êtes en train de vivre, dans l’instant.
- Pas d’enjeu de résultat, pas de recette à suivre, pas de course à la performance, juste vous et quelques ingrédients que vous préparez selon vos envies sans idée préconçue.
- Vous êtes votre seul convive à l’arrivée et la seule chose qui compte, c’est vous.
Savourez cette nouvelle forme de liberté ! 7/ Goûtez au fur et à mesure Cela vous permettra d’ ajuster en fonction de vos sensations et de ressentir quand c’est le moment de mettre la touche finale. Goûter, c’est le secret des grands chefs car la cuisine n’est pas une science exacte, et c’est tant mieux.
Prenez le temps de décider si le plat est à votre goût et, le cas échéant, d’imaginer ce que vous pourriez changer pour l’améliorer. N’hésitez pas à tâtonner et à avancer pas à pas. La clé, c’est souvent de procéder par petites touches progressives, de tester. Ne vous découragez-pas si votre plat n’est pas conforme à ce que vous rêveriez de goûter, prenez soin d’identifier ce qui vous plait et les saveurs et textures que vous aimeriez changer.
Gardez en tête que tout est rattrapable : une pointe de sucre, de miel ou de sirop d’érable pour contrebalancer un excès de sel dans un plat, par exemple, et le tour est joué ! Persévérez dans votre exploration et dédramatisez. Rappelez-vous les conseils de grand-mère : avec des bons ingrédients, c’est forcément bon à l’arrivée, alors faites-vous confiance ! 8/ Dressez une belle assiette et une jolie table juste pour vous ! Dans les propositions créatives, je vous invite à prendre soin de la présentation et du visuel pour que votre repas soit une fête.
- Faites de la cuisine un instant agréable de bout en bout.
- Cela ne vous viendrait pas à l’idée de faire manger vos invités dans la casserole et debout dans la cuisine ? Alors, faites en sorte de soigner la présentation de votre plat également.
- Traitez-vous comme un invité de marque et mettez les petits plats dans les grands, appliquez-vous pour la décoration de la table et le fonds musical si vous avez envie d’une ambiance sonore.
Et surtout, n’oubliez pas de prendre en photo votre réalisation,9/ Prenez le temps de poser quelques mots sur votre vécu Une fois votre plat réalisé, prenez un temps pour vous et n’hésitez pas à écrire ce que vous ressentez. Ce temps d’intégration est essentiel pour éclaircir votre pensée, essayer de mettre des mots sur votre vécu et vos ressentis, et peut-être commencer à trouver du sens,
Cette pause est un moment de retrait, où vous pouvez laisser venir des choses à vous en écrivant les mots (ou en dessinant les images) qui vous semblent pertinentes. Faites le vide et accueillez ce qui vient sans jugement. Ne vous inquiétez pas, des questions et des pistes de réflexion vous seront proposées pour vous aider dans ce cheminement.
Très souvent, je vous inviterai par exemple à donner un titre à votre création : poétique, abstrait, descriptif, symbolique, imagé. soyez ouvert à ce qui se présente.10/ Prenez le temps de vous féliciter franchement Franchement, cela veut dire en évitant les « c’est mangeable », « ce n’est pas si mal», « c’est un coup de chance » et autres faux compliments qui dénigrent ou minimisent ce que vous avez fait.
- Félicitez-vous avec enthousiasme, comme vous le feriez pour encourager un enfant,
- Voyez le verre à moitié plein, vous allez forcément trouver une raison de vous complimenter.
- Félicitez-vous à haute voix et célébrez cette victoire à sa juste valeur.
- Et bien sûr, savourez avec vos 5 sens Une fois que vous êtes confortablement assis, pensez à faire intervenir vos 5 sens dans la dégustation, en prenant soin d’interroger et de noter ce que votre vue, votre toucher, votre ouïe, votre odorat et votre goût ont à vous dire.
Soyez à l’écoute de vos sensations corporelles et goûtez votre plat comme si vous étiez dans un grand restaurant, par petites bouchées pour en décortiquer toutes les saveurs, les textures, la température, le croquant, la longueur en bouche, les changements liés à la mastication.
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Quand je mange je ne me sens pas bien ?
L’hypotension postprandiale est une diminution excessive de la pression artérielle qui survient après un repas.
Des étourdissements, une sensation de tête qui tourne et des chutes peuvent se produire. Les médecins mesurent la pression artérielle avant et après un repas pour diagnostiquer l’hypertension postprandiale. Prendre des repas fréquents et légers pauvres en glucides peut être utile.
L’intestin a besoin d’une grande quantité de sang pour la digestion. Lorsque le sang se dirige vers l’intestin après un repas, le rythme cardiaque augmente et les vaisseaux d’autres parties du corps se contractent pour maintenir la pression artérielle.
- Cependant, chez certaines personnes âgées, ces mécanismes sont inadéquats.
- Le sang se dirige normalement vers l’intestin, mais le rythme cardiaque n’augmente pas de manière adéquate et les vaisseaux sanguins ne se contractent pas suffisamment pour maintenir la pression artérielle.
- Par conséquent, la pression artérielle baisse.
L’hypotension postprandiale peut provoquer des vertiges, une sensation de tête qui tourne, des évanouissements et des chutes. Quand ces symptômes surviennent chez une personne âgée après un repas, les médecins contrôlent la pression artérielle avant et après les repas pour déterminer si une hypotension postprandiale en est la cause.
Ajuster l’heure d’administration des médicaments et les activités autour des repas
Les personnes ayant des symptômes d’hypotension postprandiale ne doivent pas prendre d’antihypertenseurs avant le repas et doivent s’allonger après les repas. La réduction de la dose de médicaments antihypertenseurs et des petits repas plus fréquents pauvres en glucides peuvent réduire les effets de cette affection.
- Dans certains cas, marcher après un repas améliore le flux sanguin mais la pression artérielle peut baisser quand la personne s’arrête.
- La prise de certains médicaments avant un repas peut être utile.
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), par exemple, provoquent une rétention de sel qui provoque à son tour une augmentation du volume sanguin.
La caféine provoque la constriction des vaisseaux sanguins. La caféine doit généralement être prise uniquement avant le petit déjeuner pour ne pas perturber le sommeil et éviter une tolérance aux effets de la caféine. Chez les personnes présentant des symptômes sévères qui ne répondent pas à d’autres mesures et qui sont hospitalisées, des injections d’octréotide peuvent s’avérer utiles en réduisant le volume du flux sanguin vers l’intestin. Copyright © 2023 Merck & Co., Inc., Rahway, NJ, États-Unis et ses sociétés affiliées. Tous droits réservés.
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Comment les chefs travaillent le goût ?
Comment les chefs travaillent-ils le goût ? – Les chefs travaillent le goût en inventant des plats et des desserts dans les cuisines de leurs restaurants. Leur but ? Faire plaisir aux clients qui viennent chez eux déguster des plats réputés.
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Comment donner du style à sa cuisine ?
7. Nuancez les séparations au sol – Vous souhaitez délimiter votre cuisine mais la garder ouverte sur la pièce attenante ? Alors cette idée est faite pour vous ! Plutôt que de la démarquer du reste avec un mur ou une verrière, réalisez une séparation de sol.
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Comment épicer les plats ?
La cardamome est souvent utilisée dans la cuisine traditionnelle indienne. Les graines de coriandre avec la volaille et les poissons. Le curcuma dans les plats en sauces de légumes ou de volaille. Le gingembre se marie autant avec les préparations sucrées que salées.
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Comment apprendre vite à cuisiner ?
Apprendre à cuisiner avec les réseaux sociaux – Aujourd’hui, les sites de cuisine ne sont pas aussi consulté que ce que peuvent l’être les comptes dédiés aux recettes de cuisine sur les réseaux sociaux. Alors que les vidéos courtes de recettes sont déjà apparues sur Facebook il y a déjà quelques années, c’est désormais sur des réseaux comme Tik Tok, Instagram ou Pinterest que vous retrouverez le plus de recettes de cuisine.
Les réseaux sociaux sont idéaux pour apprendre à cuisiner mais surtout pour trouver des idées de recettes et de l’inspiration. Il existe plusieurs façons de profiter de ces réseaux. Il peut s’agir d’un chef qui propose des vidéos en direct pour apprendre à faire une recette, cela peut aussi être des vidéos enregistrées puis diffusées montrant toutes les étapes de la recette, ou encore de simples photos avec les étapes de la recette en description.
Simple amateur ou véritable professionnel, tout le monde peut partager ses recettes et accéder à celles des cuisiniers professionnels. Des influenceurs cuisine vivent même grâce au contenu produit sur Instagram ou autre. À l’heure où le foodporn est à son apogée, il serait dommage de se priver de ces contenus parfois tout aussi qualitatifs que les sites en ligne ou autres manuels de cuisine.
Apprendre à cuisiner peut se faire en atelier cuisine mais si l’on souhaite le faire de la manière la plus économique possible, on peut se tourner vers les sites culinaires, très nombreux aujourd’hui. Commencez par apprendre le vocabulaire de la cuisine et les techniques de base sur des sites comme basesdelacuisine.com, Il est ensuite possible de trouver des recettes faciles sur des sites comme Cuisine Ta Mère (pour un public plutôt étudiant), Marmiton ou autres blogs culinaires. Car la cuisine, c’est comme tout, il faut pratiquer pour s’améliorer et rien de mieux pour s’améliorer que de tester différentes recettes salées et sucrées. Maintenant que vous avez toutes les cartes en main (ou plutôt les ingrédients) pour débuter en cuisine, à vos fourneaux ! Et n’oubliez pas de savourer le meilleur moment : la dégustation !
Pourquoi j’ai besoin de me remplir ?
L’alimentation émotionnelle et la dépendance à la nourriture – Il est courant de se tourner vers la nourriture pour trouver du réconfort : se détendre avec un bol de soupe bien chaud après une grosse journée de travail par exemple. Mais quand l’alimentation devient une stratégie pour gérer ses émotions et faire face au stress, vous pouvez développer une dépendance malsaine et incontrôlable à la nourriture.
Les personnes hyperphages souffrent de cette dépendance à la nourriture. Comme l’alcoolique qui ne sait pas refuser un verre de bière, elles ne savent pas dire non à la nourriture. Souvent, leurs crises d’hyperphagie sont déclenchées par une humeur dépressive ou anxieuse mais elles peuvent également se suralimenter lorsqu’elles sont tendues, lorsqu’elles se sentent seules ou qu’elles s’ennuient.
Elles mangent pour nourrir leurs sentiments plutôt que leur corps. Le problème est que l’alimentation émotionnelle ne résout rien. Ca peut réconforter pendant un bref moment mais la réalité reprend vite le dessus avec un sentiment de dégoût de soi. L’alimentation émotionnelle peut surtout mener à des difficultés comme la prise de poids et l’obésité.
Malheureusement, la prise de poids ne fait que renforcer l’alimentation compulsive. Ceci n’est pas dû au fait que les personnes souffrant d’hyperphagie ne prennent plus soin de leur corps mais bien au fait qu’elles se sentent mal de voir leur poids grimper sur la balance. Et plus elles se sentent mal avec leur poids et leur apparence, plus elles vont utiliser la nourriture pour tenter de se réconforter.
On se retrouve alors dans un cercle vicieux : les personnes s’alimentent pour se sentir mieux, elles se sentent mal car le poids augmente et elles se tournent à nouveau vers la nourriture pour se soulager.
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Pourquoi je mange tout et n’importe quoi ?
Ça arrive à tout le monde. Mais quand ce comportement se répète régulièrement et qu’on se sent impuissante devant la nourriture, on parle alors d’ hyperphagie boulimique. Il s’agit d’un trouble alimentaire.
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