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Comment savoir si une cuisse de dinde est cuite ?
Utilisez un thermomètre à viande pour vérifier si la dinde est bien cuite. Volaille entière – la température interne doit atteindre 82 °C (180 °F).
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Comment faire cuire la dinde Ricardo ?
Cuire au four 30 minutes. Réduire la chaleur du four à 165 °C (325 °F) et poursuivre la cuisson 1 h 30 ou jusqu’à ce qu’un thermomètre à viande inséré dans la cuisse, sans toucher l’os, indique 82 °C (180 °F). Réserver la dinde dans un plat de service et laisser reposer 30 minutes sans couvrir de papier d’aluminium.
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Quel est le poids d’une cuisse de dinde ?
Soyez le premier à évaluer ce produit 14,45 € Le prix inclut la TVA, sans livraison.1 kg = 8,50 €
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Description
1 kg = 8,50 € A cuir à 180° démarrage a froid pendant 1 heure 30 minutes à 2 heures environ: cuisson,viande bien cuite,le poids d’une cuisse de dinde est en moyenne au alentour de 1,7 kilo.
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Comment faire pour que la dinde soit pas sèche ?
Arroser la volaille toutes les dix minutes – “Pour éviter que la dinde ne sèche durant la cuisson, il faut l’arroser toutes les dix minutes d’un mélange d’huile d’olive et de beurre avec une louche, une cuillère ou une poire à jus”, conseille le professionnel. À la fin de la cuisson, déglacer la plaque à rôtir pour récupérer les sucs et les verser sur la pièce.
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Comment calculer le temps de cuisson d’une dinde ?
Chroniques culinaires – 1 nov.2013 Achat, décongélation, cuisson, voici les conseils pratiques de Marylo pour une dinde réussie à tout coup ! Quelle sorte de dinde achèterez-vous ? Choisissez une dinde de catégorie A. Elle sera dodue, bien en chair et la poitrine, les cuisses et le dos seront recouverts d’une légère couche de graisse.
La dinde que vous achèterez sera vidée entièrement et les abattis seront enveloppés séparément. Quelle grosseur de dinde choisirez-vous ? Allouez 1/2 livre à 3/4 de livre par portion (non par personne). N’oubliez pas que l’on en redemandera probablement. Une dinde de 12 à 16 livres convient très bien pour une famille de 8 personnes.
Décongélation de la dinde La dinde congelée peut être décongelée tout enveloppée dans l’eau froide ou au réfrigérateur. Voici le temps approximatif de décongélation pour une dinde de 12 à 16 livres : de 7 à 8 heures dans l’eau froide, de 2 à 3 jours au réfrigérateur.
Ne décongelez jamais la dinde à la température de la pièce ! Préparation de la dinde décongelée Lavez la dinde et séchez-la parfaitement. Saupoudrez la cavité de sel. Remplissez la cavité de farce et fermez l’ouverture au moyen de ficelle ou de brochettes. Farcissez le jabot, puis repliez la peau sur le dos et fixez-la à l’aide d’une brochette.
Attachez les cuisses au croupion. Faites tenir les ailes en place sur la poitrine au moyen de brochettes. On appelle cela « trousser la dinde ». Rôtissage de la dinde Recouvrez la dinde de margarine ou beurre fondu. Saupoudrez de farine, puis ajoutez du sel et du poivre.
- Déposez des tranches de lard salé près des ailes et des cuisses.
- Placez un papier d’aluminium (côté luisant de la feuille vers la dinde) sur la dinde sans presser.
- Il faut se servir d’une rôtissoire et ne jamais ajouter d’eau.
- Arrosez de temps en temps pendant la cuisson.
- La cuisson Au début de la cuisson de la dinde, la température doit être assez élevée.
À une température de 375 °F, faites cuire la dinde pendant 45 minutes, puis baissez la température du four à 325 °F. Pour une dinde de 12 à 16 livres, le temps de cuisson est de 5 à 6 heures. Il est très important de ne pas oublier d’arroser de temps en temps avec le jus de cuisson.
Enlever le papier d’aluminium 30 minutes avant la fin de la cuisson pour laisser dorer la dinde. Si vous insérez un thermomètre à viande, faites-le avant le début de la cuisson et insérez-le dans la partie la plus charnue de la cuisse en ne touchant pas à l’os. Laissez reposer la dinde couverte de papier d’aluminium pendant environ 30 minutes avant de la découper.
Si désiré, vous pouvez préparer une sauce au jus avec le fond de casserole. La température au thermomètre doit être de 190 °F (90 °C) lorsque la dinde est cuite. Durée de cuisson selon le poids de la dinde
6 à 8 livres (2,75 à 3,5 kg), 3 à 4 heures; 8 à 12 livres (3,5 à 5,5 kg), 4 à 5 heures; 12 à 16 livres (5,5 à 7,25 kg), 5 à 6 heures; 16 à 20 livres (7,25 à 9 kg), 6 à 7h30; 20 à 24 livres (9 à 11 kg), 7h30 à 9 heures.
Vérification de la cuisson Enfoncez une petite broche ou une longue fourchette dans la partie la plus épaisse de la poitrine et aussi de la cuisse près de la poitrine. Si la chair est tendre et si le jus n’a aucune nuance rougeâtre, la dinde est cuite.
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Quel aromate avec la dinde ?
Assaisonnement d’herbes – Poitrine vers le haut, déposez votre dinde dans votre plat de cuisson. Badigeonnez la poitrine de beurre, gras de canard ou huile d’olive et ajoutez un mélange d’épices de type ‘’assaisonnement volaille” ou un mélange d’herbes fraîches hachées finement.
Par exemple, un mélange de thym, estragon, persil sel et poivre rehaussera parfaitement le goût de votre dinde sans masquer son goût. Astuces : Mélanger votre combinaison d’herbes fraîches à du beurre pour en faire un beurre aromatique et badigeonner vous la peau de la poitrine directement sur la chair.
Vous aurez alors un léger parfum d’herbes et une poitrine bien juteuse.
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Comment attendrir la viande de dinde ?
Saumure liquide – Cette méthode consiste à faire tremper la dinde dans une saumure à base d’eau et de sel. On utilise idéalement un grand bac en plastique, ou une petite glacière, que l’on place ensuite au réfrigérateur. Une partie de l’eau et du sel pénètre dans la dinde durant le trempage.
- Temps de saumurage
- Environ 1 heure pour 500 g (lb) de dinde, mais il est conseillé de ne pas dépasser 12 heures.
- Le résultat
La saumure liquide donne une dinde plus juteuse que la saumure sèche, grâce à l’apport extérieur d’eau. Par contre, l’eau absorbée donne une texture spongieuse à la chair, que certaines personnes trouvent désagréable, surtout après 12 heures de saumurage.
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Quel poids de dinde pour 4 personnes ?
Pour 4 personnes – poids moyen en prêt à cuire : 1,2 à 1,7 kg. Cuisson : au four th.6 (180°C) 1h à 1h15. Pour 6 à 8 personnes – poids moyen en prêt à cuire : 2,5 à 3,5 kg.
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Quel est le moins cher dinde ou poulet ?
Que choisir entre l’escalope de dinde et l’escalope de poulet ? Par Aude Buée Pour choisir entre l’escalope de dinde et celle de poulet, il faut prendre en compte plusieurs facteurs. Voyons tout d’abord les qualités gustatives. L’escalope de poulet est nettement plus tendre, plus moelleuse (surtout si vous la préparez au barbecue, c’est une merveille) que l’escalope de dinde.
Cette dernière a par contre une saveur plus prononcée que l’escalope de poulet. Score à l’issue du premier round : égalité, 1 point partout. Passons maintenant à la facilité de préparation. L’escalope de dinde et l’escalope de poulet sont toutes deux très simples et rapides à cuire, aussi bien à la poêle qu’au gril.
Les deux viandes peuvent se cuisiner de la même façon (ex. : avec une crème aux champignons, une sauce curry, une sauce moutarde, etc.), si bien qu’il est généralement précisé dans les recettes d’escalopes de poulet qu’elles peuvent être remplacées par des escalopes de dinde (et inversement).
Score à l’issue du second round : toujours égalité, 2 points partout. A présent, comparons les qualités nutritionnelles de ces deux viandes. Elles sont nombreuses, aussi bien pour la dinde que pour le poulet. Pour ce dernier, on relève essentiellement une très belle quantité de protéines, très peu de matières grasses (la graisse du poulet se cache surtout dans sa peau), un bel apport en vitamines du groupe B (surtout les vitamines B3, B6, B2 et B5) et en divers sels minéraux (phosphore, zinc, sélénium et fer).
Chez la dinde, on retrouve sensiblement les mêmes nutriments dans des quantités similaires. On pourrait croire à une nouvelle égalité entre ces deux viandes, mais la dinde possède deux gros atouts dans sa manche : 1) Elle contient encore moins de matières grasses que le poulet.2) Ses protéines n’ont pratiquement aucune chance de déclencher une allergie alimentaire, alors que celles du poulet ont un fort potentiel allergène.
Pour cette raison, la dinde fait généralement partie des premières viandes introduites dans l’alimentation des jeunes enfants lors de la phase de diversification alimentaire. Score à l’issue du troisième round : 2 points pour l’escalope de poulet, 3 pour l’escalope de dinde Pour finir, attardons-nous sur le prix de ces escalopes.
Ils peuvent varier selon la saison, le magasin et la marque du produit mais, globalement, on peut dire que la viande de dinde est moins chère que celle de poulet. Score à l’issue du quatrième round : 2 points pour l’escalope de poulet, 4 pour l’escalope de dinde.
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Quel est le plus tendre poulet ou dinde ?
Le poulet est plus tendre que la dinde – S’il vous arrive, parfois, d’hésiter entre le poulet et la dinde, sachez que le poulet est plus tendre que la dinde. Une différence que l’on note en raison du plus faible taux de matière grasse présent dans la dinde.
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Quel est le plus cher entre le poulet et la dinde ?
Éleveur de dindes et de poulets lourds à Trédion (56), Jean-Michel Choquet compare les deux productions : opportunités de marché, technicité, contraintes Quelques informations à connaître avant de se lancer dans l’une ou l’autre de ces productions. – Quels sont selon vous les avantages et les inconvénients de la production de poulets ? Le poulet représente un marché en croissance grâce à la reconquête du marché intérieur.
- C’est un avantage certain, ne serait-ce que pour la restructuration de la filière, le maintien et développement des exploitations.
- Grâce à l’engouement pour le « consommer français » et à toutes les campagnes sur ce thème, la production a tendance à recruter et on commence à substituer du poulet français au poulet d’importation, notamment d’Europe du Nord, en restauration hors foyer.
Cependant, étant donné la hausse de la consommation, la hausse de la production ne suffit pas à regagner des parts de marché en pourcentage, mais seulement à servir la croissance. Cette reconquête est une réelle opportunité, notamment pour la filière avicole bretonne, à la fois pour le Morbihan et les Côtes-d’Armor qui sont déjà sur ce marché-là.
Cela va aussi permettre de régler le dossier Doux, car la reconquête du marché intérieur arrive à point nommé pour se substituer à l’export qui est sur le déclin. Quelles sont les opportunités de marché pour la dinde ? Aujourd’hui en dinde, on est sur un marché mature, qui représente entre 850 000 et 900 000 dindes par semaine.
Le marché n’est donc pas un relai de croissance, il permet juste le maintien des débouchés actuels. Par ailleurs, notre production est aussi menacée par des pays en plein développement, comme la Pologne qui nous envoie parfois du filet pendant leur période de surproduction, ce qui nous déstabilise un peu.
Ceci dit, il faut que l’on maintienne notre part de marché actuelle. Cependant, la production de dinde est parfois aussi attaquée par celle de poulet lourd, qui peut se substituer à la dinde pour certains usages, car on n’est pas sur le même coup de revient. Produire un kilo de dinde coûte plus cher que produire un kilo de poulet.
Normalement, la dinde est mieux valorisée en terme de prix pour les éleveurs. Mais en marge nette on est à peu près dans les mêmes eaux, sauf que c’est une production où il y a moins d’investissement qu’en poulet. Ça s’équilibre donc ainsi. En dinde, existe-t-il un besoin de renouvellement important des bâtiments et des éleveurs ? L’élevage de dinde souffre d’un sous-investissement.
Il y a certainement des schémas à tester. Aujourd’hui, les bâtiments que l’on a conviennent très bien à l’engraissement des animaux. En revanche, les périodes de démarrage peuvent être assez difficiles, car les bâtiments ne sont plus très adaptés, notamment aux nouveaux standards des souches. Une attention particulière doit être apportée au démarrage des animaux.
L’idéal serait donc un schéma avec des poussinières dans des bâtiments récents et consacrer les bâtiments actuels, souvent de l’ancienne génération, à l’engraissement. L’étude Néodinde (2014, Chambre d’Agriculture des Pays de la Loire et Itavi) avait expertisé ce genre de piste.
- Cela pourrait permettre d’apporter un nouveau standard de production pour la dinde et un peu de compétitivité.
- En effet, on gagnerait en rotation, en passant de 2,2 lots à 3 lots par an, même si cela signifie investir dans un bâtiment qui coute un peu plus cher pour le démarrage.
- Cela permettrait probablement d’apporter un peu de dynamisme dans la filière.
Quels sont les avantages et inconvénients entre les deux productions sur le plan technique ? La production de dinde a bien progressé par rapport aux pathologies des animaux. Les vaccinations se sont beaucoup développées, sur toutes les pathologies. Si on applique à la lettre un bon programme vaccinal, on peut s’en sortir sans trop de surprises de ce côté-là.
Le vaccin contre la maladie de Newcastle peut être administré au couvoir et les poussins sont protégés pendant 25 semaines. J’ai aussi l’habitude de faire le Dindoral ®, qui est largement répandu et qui donne 100 % de réussite. Le vaccin contre la rhinotrachéite, si c’est bien fait, avec une première vaccination au couvoir et une seconde par l’éleveur, offre aussi 100 % de réussite.
On peut aussi très bien travailler sur les ornithobacteriums, une pathologie qui est apparue notamment en élevage de dinde. Au début, c’était respiratoire ; aujourd’hui, c’est devenu articulaire. Le vaccin contre l’ornithobactérium peut être administré à 28 jours.
Et comme cela nécessite de prendre les animaux un à un, on en profite pour vacciner contre les colibacilles. Le coût vétérinaire de l’élevage de dinde est donc constitué à 90 à 95 % de vaccins. On n’est plus du tout dans le curatif, mais dans le préventif, ce qui redonne aussi une attractivité à l’élevage.
Car quand les dindes sont malades, on est plus ou moins stressé, ce n’est jamais évident. Quand on se loupe en dinde, on sait qu’on a raté quasiment 6 mois de l’année. Cela peut être dangereux dans certaines situations. Tandis qu’en poulet, si on se loupe sur un lot, on en a quand même 5 pour se refaire.
- C’est moins impactant.
- Le développement des vaccins nous a donc bien aidés à gagner en sérénité.
- Depuis que je suis ce programme vaccinal, je n’ai plus de colibacilles ni d’ornithobactériums.
- Cela me permet de bien dormir.
- En tous cas, pour l’instant ça marche, alors pourvu que ça dure ! A contrario, du fait que les lots sont plus longs en dinde, le rythme de travail n’est-il pas aussi plus tranquille ? Le gros du travail en dinde, c’est de rajouter de la litière pour leur donner le maximum de confort.
En résumé, si on n’a pas de pailleuse, il ne faut pas faire de dinde. C’est chronophage, mais si on est bien équipé, ça va. Sur un lot de dinde, je fais une trentaine de litières. En poulet lourd, tout dépend des ambitions qu’on a en pododermatites. Moi, je me situe entre 0 et 5 % de pododermatites, en fonction des moments de l’année.
En hiver, on peut monter à 6 ou 7 litières, selon le niveau d’humidité de l’air et des fientes. Parfois, la formulation d’aliment donne des litières un peu plus difficiles à tenir. En été, on peut descendre à 2 ou 3 litières. Mais si on veut optimiser les résultats, notamment en poulets lourds, on est aussi amené à faire pas mal de litières.
Puis c’est important d’apporter du bien-être aux animaux et en termes de performances, les résultats sont meilleurs. En conclusion, on est toujours gagnants à faire des litières, que ce soit en dinde ou en poulet, mais mieux vaut bien s’équiper, sans quoi ce ne serait pas gérable.
Et sur le plan de la rentabilité économique, quelles sont les différences entre l’élevage de dinde et celui de poulet ? Le poulet est capable de mieux valoriser des bâtiments neufs. On s’aperçoit en effet que les meilleures performances sont obtenues en bâtiments neufs, avec sols bétonnés et lumière naturelle.
En dinde, c’est moins évident. C’est un animal qui vit plus longtemps. Autant il a besoin d’être traité extrêmement bien, voire mieux qu’un poulet dans sa phase de démarrage, autant en période de croissance et de finition, c’est un animal qui peut se contenter d’un bâtiment beaucoup plus sommaire.
- En d’autres termes, la dinde valorise très bien un bâtiment neuf pendant sa période de démarrage, mais par contre c’est plus compliqué si on a un schéma neuf qui dépend du premier au dernier jour d’élevage.
- L’investissement est plus évident dans un schéma poussinière/engraissement, pour tirer profit des anciens bâtiments pendant la période de croissance/finition et tirer profit des bâtiments neufs pendant le démarrage.
Conseilleriez-vous donc plutôt d’avoir des bâtiments spécialisés en dinde ou poulet plutôt que des bâtiments polyvalents ? Je préfère faire les deux productions en même temps sur une même exploitation, mais dans des bâtiments séparés, plutôt qu’en rotation dans les mêmes bâtiments.
C’est comme un vélo de route et un VTT, on peut utiliser les deux mais parfois, on s’en sort mieux avec l’un qu’avec l’autre selon les conditions. C’est la même chose avec les bâtiments volailles. Le bâtiment poulet n’a par exemple pas les mêmes exigences de ventilation. En poulet, on a aussi besoin de beaucoup d’équipements.
En dinde, on en a besoin de beaucoup d’équipements pour le démarrage, puis beaucoup moins pour la finition et l’engraissement. Les pipettes ne sont pas les mêmes pour les deux productions ni le système d’alimentation. On sait que les assiettes spécialisées poulet sont plus faciles à l’usage que les assiettes mixtes.
En terme de productivité, on peut être obligés de faire des réglages entre la position démarrage et la position croissance. Comme la taille des élevages augmente en poulet, on peut vite atteindre 2000 assiettes à régler sur une exploitation. Cela prend beaucoup de temps, et on finit par ne plus les régler.
Donc mieux vaut être plus sur des bâtiments spécialisés par production, car ce ne sont pas les mêmes exigences. Déconseillez-vous les équipements dits polyvalents ? Je ne les déconseille pas, car les éleveurs n’ont pas forcément d’autre solution. Il y a l’aspect technique, mais aussi l’aspect économique.
La solution technique idéale, c’est de mettre un matériel spécialisé, mais il faut pouvoir se le payer ! Chacun juge donc en fonction de ses capacités financières. Je ne peux pas me mettre à la place de quelqu’un à qui l’on demande de faire du poulet et de la dinde. C’est le marché qui commande ! On dit souvent que la dinde est plus technique, la conseilleriez-vous à un éleveur qui démarre ? Un éleveur de dindes peut tout faire, c’est ce qu’il faut retenir.
Je suis éleveur de poulets depuis 18 mois et rapidement je me suis rangé parmi les meilleurs 10 % des éleveurs du groupement. L’élevage de dinde est la production la plus exigeante, car c’est l’animal le plus capricieux. Le poulet est répétitif : on prend la même souche, avec le même bâtiment, on obtient les mêmes performances à 10 à 50 grammes près d’un lot à l’autre.
Tandis que la dinde vous réserve toujours une surprise, même au bout de vingt ans de métier. On peut se faire avoir par une ingestion de litière par exemple. Ce sont des choses qu’on ne verra pas en poulet. L’éleveur de dinde est donc sans doute celui qui mérite d’être le mieux considéré, car c’est celui qui a la production la plus exigeante au niveau des volailles.
Conseillez-vous de partir sur un schéma poussinière et bâtiment d’engraissement pour une installation ? La façon la plus simple de s’installer en dinde est de partir d’une exploitation existante. On ne voit personne s’installer en dinde en partant d’une feuille blanche.
- C’est souvent dans un premier temps une reprise d’exploitation, et c’est suite à cela que l’on commence à bâtir des projets d’investissement.
- Ensuite, si l’on veut considérer des investissements en exploitation 100 % dinde, le système poussinière engraissement est sans doute le plus adapté pour bien valoriser le bâtiment existant, apporter un plus par rapport au démarrage et soulager l’investissement.
En ce qui me concerne, je démarre trois bâtiments en deux. L’idéal serait d’avoir une poussinière pour démarrer les animaux, de garder les femelles dans la poussinière pour la phase d’engraissement et déplacer les mâles dans un bâtiment ancien. Une fois que les femelles partent à l’abattoir, on redémarre la poussinière comme un bâtiment poulet.
- Comme le sol est bétonné, ça permet d’aller très vite et faire ainsi 3 lots au lieu de 2,2 par an.
- Ce serait le schéma le plus abouti.
- Aujourd’hui, tous les bâtiments neufs sont essentiellement destinés à l’élevage de poulets, car c’est le débouché principal.
- On consomme quand même 15 kg de poulet par an contre 5 kg de dinde ! Qu’est-ce qui selon vous décourage les éleveurs à s’installer en dinde ? La filière garde un peu une image d’animal dur à élever.
En effet, on a subi l’arrêt des protéines d’origine animale à peu près en même temps que l’interdiction du Nifursol. Ce fut effectivement une période très difficile pour les éleveurs. Les litières étaient sales, les animaux malades Il aurait fallu nous laisser le temps de nous adapter.
Aujourd’hui, la dinde souffre encore de cette image alors que la production a quand même bien changé. Ne serait-ce que pour la vaccination, il y a eu un pas énorme de franchi. De nouvelles souches sont aussi apparues, beaucoup plus performantes en termes de poids, mais beaucoup plus exigeantes aussi, notamment pendant la période de démarrage.
Globalement, la sélection a permis d’améliorer la rentabilité de la dinde pour tous les maillons de la filière. C’est vraiment le travail des sélectionneurs qui a permis d’améliorer les indices, les courbes de croissances et la résistance aux pathologies.
- En résumé, la dinde est donc plus facile à élever aujourd’hui qu’il y a dix ans, où le contexte était à vous dégouter de faire la dinde.
- En plus, à une certaine période, des opérateurs mettaient des dindes en élevage sans les enlever à l’âge voulu.
- Cela a créé un stress supplémentaire chez les éleveurs.
Certes, la dinde a l’avantage de pouvoir être stockée sur pied. Mais ça peut devenir un inconvénient, si cela devient une solution pour gérer le manque de débouchés. Ce phénomène a aussi encouragé des éleveurs à arrêter l’élevage de dinde, car certains se retrouvaient avec les animaux sur les bras.
- À l’inverse, quand un poulet est mis en place, on sait que 45 jours après il sera enlevé quoiqu’il arrive.
- Les dindes, elles, peuvent partir à 18 semaines, comme à 22 ou 23 semaines.
- Cela aussi diminué la rentabilité des exploitations et contribué à casser l’image de la dinde pour les éleveurs.
- Aujourd’hui, les plannings des mises en place sont-ils mieux gérés ? Oui, les plannings sont effectivement mieux gérés.
Le marché s’est aussi éclairci, avec moins d’acheteurs, donc moins de donneurs d’ordre. Le Cidef a également mis en place un système de pénalités pour ceux qui dériveraient dans les dates d’abattages. Tout cela a contribué à assainir les pratiques. Que faudrait-il pour encourager les éleveurs à s’installer en dinde ? Il faudrait un peu plus de rentabilité, car la filière a un besoin d’investissement important.
Cela passe par une meilleure valorisation du vif et un plan de modernisation ambitieux pour les années à venir. Même s’il existe le PCAEA, qui doit être maintenu, voire amplifié, on a besoin d’un effet levier, notamment pour maintenir le parc existant des éleveurs qui ont atteint leur vitesse de croisière.
Les éleveurs finistériens vont devoir s’adapter à des productions nouvelles pour pouvoir fournir le marché intérieur et la restauration hors foyer. Aujourd’hui, on est à une période charnière, car on va devoir adapter une partie du parc pour passer de l’export à la reconquête du marché intérieur, ce qui est plutôt en bonne voie.
- Mais on a aussi une période d’à peu près deux ans, le temps que l’abattoir Doux se remette en route par la construction de l’abattoir Châteaulin 2 qui doit être opérationnel dans deux ans.
- Il faudra donc une attention particulière des pouvoirs publics pour accompagner les éleveurs dans l’adaptation de leur poulailler, car la filière nécessite une modernisation.
Comment voyez-vous l’avenir de la production de dinde ? Je pense qu’elle va rester au niveau actuel. On ne devrait plus régresser. On est sur un marché mature, principalement le marché intérieur français et on peut espérer rester entre 800 000 et 900 000 dindes semaine.
- La dinde n’est pas un marché en croissance en termes de volume.
- Au contraire, le marché a plutôt tendance à baisser un peu tous les ans.
- Il ne faut donc pas attendre de relai de croissance de ce côté-là, mais il faut quand même continuer à produire de la dinde et être compétitif dans la façon de le faire.
Auriez-vous un conseil pour des éleveurs qui hésiteraient entre dinde et poulet ou les deux ? Ce qui est important, avant de vouloir de choisir une production, c’est de trouver un acheteur. Moi qui ai la chance d’avoir des bâtiments spécialisés dans les deux productions, je peux fournir les deux acheteurs.
- Le schéma idéal, c’est de pouvoir au sein d’une exploitation avec des bâtiments spécialisés, faire de la dinde d’un côté et du poulet de l’autre, car l’équipement spécialisé est mieux adapté pour les animaux.
- Si ce n’est pas le cas, dans un bâtiment neuf, il faut prévoir du matériel en double, notamment pour l’abreuvement.
C’est plus contraignant. Comment voyez-vous l’avenir de votre exploitation ? J’ai des enfants qui vont venir sur l’exploitation, donc je ne suis pas inquiet. Mais effectivement la question se pose sur le nombre d’exploitations actuellement en activité qui seront reprises.
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Comment réchauffer une cuisse de dinde ?
11 conseils pour une dinde au top – Cuisine et Recettes – Recette – Femmes d’Aujourd’hui Délices Vous rêvez de poitrines et cuisses moelleuses à la table de Noël? Lisez ce qui suit et vous saurez tout sur la dinde: comment la choisir, la préparer et la servir! A quoi faut-il faire attention quand on achète une dinde? Achetez de préférence une dinde de ferme ou bio.
- Un animal qui a vécu en liberté et qui a reçu une nourriture variée aura une chair plus ferme et plus goûteuse.
- Vous les reconnaîtrez au label bio ou au label de qualité (Label Rouge si elles viennent de France).
- Prenez plutôt une dinde de petite taille (4 kg ou moins).
- Plus la dinde est grosse, moins la viande aura de goût.
Comment reconnaître une bonne dinde? Une bonne dinde doit être jeune et son cou doit être court. Chez l’animal jeune, les écailles des pattes sont lisses et brillantes. Si la tête et les pattes sont rouges foncé, vous avez affaire à une vieille dinde.
Combien de personnes pour manger une dinde? Comptez une dinde de 2 kg pour 4 à 5 personnes, et un demi-kilo en plus par convive supplémentaire. Pourquoi la dinde est-elle souvent farcie?
La chair de la dinde a une structure un peu moins fine que le poulet et est souvent plus sèche. Barder la dinde de gras ou de lard, ou la remplir d’une farce à la viande a pour but de la garder juteuse. Une autre façon d’éviter que la viande ne dessèche est de la recouvrir (sans serrer) de papier alu pendant une partie de la cuisson.
Comment faire pour que les blancs ne soient pas trop secs? Les cuisses ont toujours besoin d’un peu plus de temps pour être cuites que le blanc. Pour éviter que ceux-ci ne sèchent, vous pouvez introduire un peu de farce entre la peau et la poitrine. Pour ce faire, détachez la peau à l’arrière de la dinde et tassez bien la farce.
Une dinde, ça doit cuire pendant combien de temps? Préchauffez le four à 220°C et faites-y cuire la dinde pendant 30 minutes. Diminuez ensuite la température du four à 180°C. Le temps de cuisson dépend de la taille de l’animal. Pour une dinde de moins de 4 kg, comptez 20 minutes par kilo + 70 minutes.
Pour une dinde de 4 kg et plus, comptez 20 minutes par kilo + 90 minutes. Recouvrez éventuellement de papier alu (sans serrer) pour garde la viande plus juteuse. Enlevez le papier alu 30 à 40 minutes avant la fin de la cuisson pour que la dinde ait l’occasion de rôtir et dorer. Comment savoir si la dinde est cuite? Piquez un thermomètre de cuisson dans la chair de la poitrine.
Si la température au cœur est de 72°C, la viande est cuite. Quel est le temps de cuisson des différentes parties de la dinde? Pour une cuisse de dinde de 600 g, comptez un temps de cuisson de 60 minutes. Un filet de dinde de 150 à 200 g doit être cuit 10 minutes de chaque côté, un tournedos de dinde de 100 g est cuit en 5 minutes de chaque côté.
- Est-ce qu’on peut cuire une dinde la veille et la réchauffer le jour J? Il n’est pas conseillé de réchauffer une dinde entière; elle serait trop sèche.
- Il vaut mieux découper la dinde en morceaux, arroser de jus de cuisson, recouvrir le tout de papier alu et réchauffer le plat dans le four à 160°C.
- Et si mon four est trop petit pour une dinde entière? Coupez l’animal en deux et faites cuire chaque moitié séparément.
Ou bien découpez les cuisses et faites-les cuire à part. Réservez le morceau déjà cuit dans du papier alu et réchauffez-le. Que faire avec les restes? Vous pouvez les garder encore deux jours au frigo. Si la dinde était fraîche, vous pouvez congeler les restes, mais faites-le tout de suite après le repas.
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Quelle matière grasse pour cuire une dinde ?
Avant d’enfourner la dinde, badigeonnez-la avec un peu de matière grasse ( de l’huile, du beurre tendre ).
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Comment savoir si une dinde est prête ?
Monstera/Pexels – La est cruciale. Il est donc primordial de savoir que le temps pour cuire la dinde varie selon sa taille et selon si elle est farcie ou non. Plus le poids de la dinde est important, plus le temps de cuisson sera long. Et, si vous placez une farce dans la cavité, la cuisson sera aussi plus longue.
Il faudra donc prévoir plus de temps! Pour vous assurer de cuire votre dinde à la perfection, surveillez-la souvent; aux 15 minutes environ. Si une partie de la dinde commence à brûler, couvrez-la avec un petit morceau de papier d’aluminium. La dinde est prête lorsque le thermomètre à viande inséré dans une cuisse (sans toucher à l’os) indique 165 F! Mais avant toute chose, n’oubliez pas de bien dégeler la dinde (ça peut prendre facilement 3 à 4 jours) et de sortir les abats de la cavité avant de cuire la dinde.
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Quel thermostat pour cuire une dinde ?
Comment cuisiner et cuire la dinde ? – La dinde entière se consomme souvent entière, grillée ou farcie, pour Noël (ou Thanksgiving aux Etats-Unis). En morceaux, on consomme ses escalopes, ses cuisses Et on la trouve désormais sous forme de jambon ou de rôti.
Pour faire rôtir une dinde, prévoir 45 à 50 minutes de cuisson par kg. Faire cuire à thermostat 7 la première demi-heure (210°C), puis thermostat 5 (150°C) le reste du temps. A la fin de la cuisson, percer une des cuisses et regarder la couleur du jus qui en sort. S’il est transparent, la dinde est cuite.
S’il y reste du sang, il faut continuer la cuisson encore u quart d’heure, puis réessayer (ça dépend beaucoup des fours). N’hésitez pas à démarrer la cuisson plus tôt, au cas où votre dinde cuirait plus lentement que prévu ! Voici quelques techniques pour préparer votre dinde Vider et brider une volaille Farcir une volaille sous la peau Découper une volaille cuite Idées recettes Dinde farcie aux marrons Dinde du Sud pour Noël Cuisse de dinde au miel Roulade de dinde et jambon à la méditerranéenne Emincé de dinde au curry et pastis Paupiettes de dinde aux fines herbes Tournedos de dinde en papillote La suite après cette publicité
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Comment savoir si ma dinde est cuite sans thermomètre ?
Comment savoir si la dinde est cuite ? – Pour apporter du goût, n’hésitez pas à préparer une farce à placer dans votre dinde. Pour le menu du réveillon, jouez la carte de la gourmandise et de l’exceptionnel avec une dinde farcie aux pommes et au foie gras,
- Une fois au four, la question que se posent le plus souvent les cuisiniers est de comment savoir si la dinde est bien cuite.
- Ne vous fiez pas à la couleur de la peau de votre dinde, car elle n’est pas signe d’une cuisson optimale.
- Le plus simple est d’utiliser un thermomètre à viande.
- Si c’est la première fois que vous en utilisez, vous pouvez vous demander où mettre le thermomètre dans une dinde.
Piquez le thermomètre dans la partie la plus charnue de la cuisse, en évitant l’os. Si le thermomètre affiche 82°, votre dinde est cuite. Pensez également à vérifier la température au centre de la farce (si la dinde est farcie) Si vous n’avez pas de thermomètre, vous pouvez piquer avec la pointe d’un couteau la cuisse de la volaille : si le jus qui s’en écoule est clair, elle est cuite.
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Quel poids de dinde par personne ?
1 chapon (non farci) de 4 à 4,5 kg nourrira 12 personnes.1 dinde de 3,5 à 4 kg (non farcie) nourrira 10 personnes.1 poularde (non farcie) de 3 kg nourrira 8 personnes.
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Quelle quantité de dinde par personne ?
Quelle quantité de dinde par personne? Une dinde pèse en moyenne 3,5 à 4kg. Une seule bête permet de nourrir 10 personnes avec une portion de 250 g à 300 g par personne.
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Comment savoir si la volaille est cuite ?
Comment savoir si son poulet est bien cuit ? – C’est très simple, il suffit de piquer l’un des côtés du flanc avec la pointe d’un couteau. Si le jus qui s’en écoule est blanc ou translucide, c’est que le poulet est cuit.
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Comment savoir si une cuisse de poulet est cuit ?
Piquez à l’aide d’un couteau, le côté du flanc des cuisses de poulet. Si le jus qui en sort est blanc, alors la volaille est cuite. Si sa chair est encore un peu rosée alors continuez la cuisson.
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Comment savoir si un filet de dinde est cuit ?
Comment savoir si mon rôti de filet de dinde est cuit ? – Pour savoir si votre rôti de filet de dinde est cuit, il suffit de piquer dans la partie la plus épaisse. Si le jus est clair, alors votre rôti est cuit. Ce qu’ il vous faut Pour 6 personnes : 1 rôti de filet de dinde | 1 citron | 1 gousse d’ail | 100 ml de vin blanc | 50 ml d’huile d’olive | ½ cuillère à café de coriandre en poudre | ½ cuillère à café de paprika | ½ cuillère à café de thym séché | ½ cuillère à café de menthe séchée | 10 brins de coriandre fraîche | 2 patates douces | 500g de pommes de terre | Sel, poivre Les étapes de réalisation
Préparez la marinade : lavez la coriandre fraîche et placez-la dans le mixeur avec les tiges. Ajoutez la gousse d’ail pelée, le vin blanc, le jus de citron, la coriandre en poudre, le paprika, le thym et la menthe séchée. Salez, poivrez et mixez. Réservez. Déficelez le rôti et retirez le gras qui l’entoure. Placez le r ôti de filet de dinde dans un plat, puis versez la marinade par-dessus. Couvrez et placez au réfrigérateur pendant 2 heures en retournant à la moitié du temps. Au bout des 2 heures, préchauffez le four à 220°C. Versez le jus de la marinade dans une casserole et réservez. Placez le filet de dinde dans un plat allant au four et enfournez 20 minutes. Pelez, lavez les pommes de terre et les patates douces puis coupez-les en morceaux de taille similaire. Après les 20 minutes de cuisson du rôti, placez les légumes autour puis arrosez l’ensemble avec les 50 ml d’huile d’olive et enfournez 40 minutes à 180°C. 5 minutes avant la fin, faites réduire la marinade à feu vif en la laissant bouillir et en remuant de temps en temps pour éviter qu’elle accroche aux parois de la casserole. A la sortie du four, arrosez le rôti de filet de dinde et les légumes de marinade.
Maître CoQ vous simplifie la vie ! Vous n’avez pas de menthe séchée ? Optez pour du romarin ou de la marjolaine.
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Comment savoir si un rôti de dinde est cuit ?
Cuisson rôti de dinde : découvrez comment cuire un rôti de dinde – Elle à Table Pour réussir la cuisson du rôti de dinde, on veille à sortir sa viande du frigo une heure avant sa préparation. En effet, les temps de cuisson seront plus justes et la viande plus tendre si la viande est à température ambiante.
Pour réussir la cuisson d’une dinde rôtie, au four, on prévoit entre 25 et 30 minutes par tranche de 500 g. On prolonge la cuisson de 10 à 15 minutes pour une dinde farcie. Pour obtenir une dinde moelleuse et dorée, on enfourne son rôti à 180 ° C et on l’arrose régulièrement (environ toutes les 30 minutes) avec le jus de cuisson.
Pour vérifier la juste cuisson du rôti de dinde, on le pique dans la partie la plus charnue et on fait couler son jus. Quand il est clair, il confirme la fin de la cuisson du rôti. : Cuisson rôti de dinde : découvrez comment cuire un rôti de dinde – Elle à Table
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